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Projet structurant

Interface Art/Science

Depuis 2015, Sporobole a mis en place un programme de résidence d’artistes dans divers laboratoires ou groupes de recherche scientifiques. Les résidences, qui se concentrent sur la recherche et la création de projets à la frontière des disciplines, ont une durée minimale d’une année. Des budgets sont prévus pour répondre aux besoins de déplacement, d’hébergement, de prototypage et de ressources humaines (stagiaires, professionnels de recherche, etc.) du projet. Une première entente de coopération scientifique et créative a été signée avec l’Université de Sherbrooke en 2016 et a permis la réalisation de 3 premières résidences. Concentrée d’abord sur des collaborations avec la faculté de génie, ce premier cycle de résidence a permis le développement d’une méthodologie permettant de meilleures collaborations entre les chercheurs scientifiques et artistiques évitant les dynamiques d’instrumentalisation inhérentes à la majorité de ce type de collaboration. Une nouvelle entente de coopération scientifique et créative entre Sporobole et l’Université de Sherbrooke a été signée en 2021 et permettra la réalisation en 2023 et 2024 de 2 nouveaux projets.

Les projets passés

2024-2025 : Adam Basanta et la Faculté de Droits de l’Université de Sherbrooke

2023 -2024 : Erin Gee et les laboratoires de l’Institut quantique de l’Université de Sherbrooke

2022-2023 : Manicouagan (Ce projet est co-produit par Station Mir et Sporobole, avec le soutien de La Tonne de l’ Institut français, de la Région Normandie, du Conseil des arts du Canada, du Conseil des Innus de Pessamit et pour lequel Paul Duncombe, initiateur du projet, a reçu le prix COAL)

2018-2019 : Jean-Pierre Aubé et  les chercheurs de l’iREX, de l’Observatoire du Mont-Mégantic et de l’Astrolab du parc national du Mont-Mégantic

2017-2018 : Whitefeather Hunter et la Chaire de recherche du Canada sur les microorganismes et les procédés industriels à l’Université de Sherbrooke

2016-2017 : Émile Morin et le Groupe d’acoustique de l’Université de Sherbrooke (GAUS)

2014-2015 : François Quévillon et des chercheurs du 3IT (Institut interdisciplinaire d’innovation technologique) et des chercheurs en sciences humaines de l’Université de Sherbrooke